Ces Mouvements ont un double objectif

« En exigeant qu’une qualité d’attention soit maintenue sur plusieurs parties simultanément, ils nous aident à sortir du cercle restreint de nos automatismes. Et par le biais d’un enchaînement précis d’attitudes, ils nous apportent la possibilité d’une nouvelle façon de penser, de ressentir et d’agir. Si nous pouvions véritablement percevoir leur signification et parler leur langage, les Mouvements nous révéleraient un tout autre niveau de compréhension. »

Traduit de l’anglais
Jeanne de Salzmann, Reality of being, p. 121-122

La musique au coeur de notre histoire

Alors qu’il dirige l’Institut au Prieuré d’Avon, Gurdjieff travaille en étroite collaboration avec le compositeur Thomas de Hartmann. Ce dernier transcrit et harmonise plusieurs centaines d’œuvres musicales, dont celles composées pour les Mouvements.

Thomas de Hartmann conduisant l'orchestre
Chant des pêcheuses
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann
Chant et danse (Sayyid) Nº 8
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann

À son décès en 1979, Olga de Hartmann a légué à la Fondation de Montréal les droits de la musique composée par Gurdjieff/de Hartmann.

Pour emprunter les mots de Thomas de Hartmann :

« Sa musique était d’une grande diversité. Les pièces les plus touchantes étaient celles qu’il disait avoir entendues dans des temples lointains aux confins de l’Asie. En écoutant cette musique, on était touché au plus profond de son être… »

« La façon dont toute cette musique fut notée est très intéressante en soi. Cela se passait généralement le soir, dans le grand salon du château ou au Study House. De ma chambre, il m’était en général possible d’entendre monsieur Gurdjieff commencer à jouer et, attrapant mon papier à musique, je dévalais aussitôt l’escalier. Tous les élèves arrivaient sans délai et la transmission de la musique se faisait toujours en leur présence. »  

Notre vie avec monsieur Gurdjieff, p.296 et p.298 

Thomas de Hartmann

Ces Mouvements ont un double objectif

« En exigeant qu’une qualité d’attention soit maintenue sur plusieurs parties simultanément, ils nous aident à sortir du cercle restreint de nos automatismes. Et par le biais d’un enchaînement précis d’attitudes, ils nous apportent la possibilité d’une nouvelle façon de penser, de ressentir et d’agir. Si nous pouvions véritablement percevoir leur signification et parler leur langage, les Mouvements nous révéleraient un tout autre niveau de compréhension. »

Traduit de l’anglais
Jeanne de Salzmann, Reality of being, p. 121-122

La musique au coeur de notre histoire

Alors qu’il dirige l’Institut au Prieuré d’Avon, Gurdjieff travaille en étroite collaboration avec le compositeur Thomas de Hartmann. Ce dernier transcrit et harmonise plusieurs centaines d’œuvres musicales, dont celles composées pour les Mouvements.

Thomas de Hartmann conduisant l'orchestre
Chant des pêcheuses
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann
Chant et danse (Sayyid) Nº 8
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann

À son décès en 1979, Olga de Hartmann a légué à la Fondation de Montréal les droits de la musique composée par Gurdjieff/de Hartmann.

Pour emprunter les mots de Thomas de Hartmann :

« Sa musique était d’une grande diversité. Les pièces les plus touchantes étaient celles qu’il disait avoir entendues dans des temples lointains aux confins de l’Asie. En écoutant cette musique, on était touché au plus profond de son être… »

« La façon dont toute cette musique fut notée est très intéressante en soi. Cela se passait généralement le soir, dans le grand salon du château ou au Study House. De ma chambre, il m’était en général possible d’entendre monsieur Gurdjieff commencer à jouer et, attrapant mon papier à musique, je dévalais aussitôt l’escalier. Tous les élèves arrivaient sans délai et la transmission de la musique se faisait toujours en leur présence. »  

Notre vie avec monsieur Gurdjieff, p.296 et p.298 

Thomas de Hartmann

Ces Mouvements ont
un double objectif​

« En exigeant qu’une qualité d’attention soit maintenue sur plusieurs parties simultanément, ils nous aident à sortir du cercle restreint de nos automatismes. Et par le biais d’un enchaînement précis d’attitudes, ils nous apportent la possibilité d’une nouvelle façon de penser, de ressentir et d’agir. Si nous pouvions véritablement percevoir leur signification et parler leur langage, les Mouvements nous révéleraient un tout autre niveau de compréhension. »

Traduit de l’anglais
Jeanne de Salzmann, Reality of being, p. 121-122

Thomas de Hartmann conduisant l'orchestre

La musique au coeur
de notre histoire

Alors qu’il dirige l’Institut au Prieuré d’Avon, Gurdjieff travaille en étroite collaboration avec le compositeur Thomas de Hartmann. Ce dernier transcrit et harmonise plusieurs centaines d’œuvres musicales, dont celles composées pour les Mouvements.

Chant des pêcheuses
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann

Chant et danse (Sayyid) Nº 8
Thomas de Hartmann, piano
Composé par G.I. Gurdjieff et Thomas de Hartmann

À son décès en 1979, Olga de Hartmann a légué à la Fondation de Montréal les droits de la musique composée par Gurdjieff/de Hartmann.

Thomas de Hartmann

Pour emprunter les mots de Thomas de Hartmann :

« Sa musique était d’une grande diversité. Les pièces les plus touchantes étaient celles qu’il disait avoir entendues dans des temples lointains aux confins de l’Asie. En écoutant cette musique, on était touché au plus profond de son être… »

« La façon dont toute cette musique fut notée est très intéressante en soi. Cela se passait généralement le soir, dans le grand salon du château ou au Study House. De ma chambre, il m’était en général possible d’entendre monsieur Gurdjieff commencer à jouer et, attrapant mon papier à musique, je dévalais aussitôt l’escalier. Tous les élèves arrivaient sans délai et la transmission de la musique se faisait toujours en leur présence. » 

Notre vie avec monsieur Gurdjieff, p.296 et p.298